Pendant une semaine, nous nous sommes intensément mis à la recherche d’argent. Nous avons contacté notre famille, nos amis, nos connaissances. Rares étaient ceux qui acceptaient de nous prêter, mais aucun ne pouvait le faire en une semaine. Ceux qui avaient suffisamment d’argent pour nous prêter quelques centaines d’euros (nous ne voulions pas emprunter la totalité à la même personne), avaient l’argent placé et cela demandait du temps pour le sortir.
C’est donc avec beaucoup d’appréhension que nous attentions le propriétaire. Nous nous doutions que Verena allait de nouveau devoir à nouveau subir ses assauts. Pour nous donner du courage, nous avons bu plusieurs verres, nous réchauffant le corps et l’esprit.
Le bruit caractéristique de la 4L se garant nous sorti de l’apathie dans laquelle l’appréhension et l’alcool nous avaient plongés. Notre propriétaire entra dans la maison, mais il n’était pas seul. Son contremaître Serge, un géant de plus d’un mètre quatre-vingt-dix et pesant au moins 120kg l’accompagnait.
– Alors vous avez le pognon, demanda-t-il sans préambule. Je l’espère pour vous, ma patience à des limites!
– Nous allons l’avoir dans quelques jours, une telle somme ne se trouve pas aussi facilement…
– C’est pas mon problème, je vous avais donné une semaine, celle-ci est écoulée, vous allez me faire le coup à chaque fois!
– Mais on vous garantit que l’argent sera bientôt là.
– Sais pas pourquoi, mais j’ai envie de vous faire confiance, décréta-t-il avec un regard à son contremaître qui semblait allait à l’opposé de ses paroles apparemment bienveillantes.
– Mais bon, va falloir encore payer des intérêts qui ont sacrément augmentés depuis la semaine dernière…Pour commencer, ma petite poulette, tu vas aller chercher tes escarpins les plus hauts, les mettre et poser tous tes autres vêtements…J’aime bien voir une pute à poil sur des escarpins…
On y était, comme on l’avait prévu, Verena allait devoir de nouveau subir les envies lubriques de ce gros porc. Mais cette fois, il n’était pas seul. Le contremaître arborait un grand sourire pervers, louchant de manière ostentatoire sur les attributs de mon épouse. Je savais qu’il était vain de protester…Verena aussi d’ailleurs. En baissant la tête elle disparut dans notre chambre pour aller chercher les chaussures demandées. Pendant ce temps le paysan et son acolyte s’étaient assis et servis d’un verre, comme si ils étaient chez eux. Dans un sens, c’était un peu le cas…
A peine quelques minutes après, ma douce femme fit son apparition dans la pièce. Elle avait mis des escarpins rouges qu’elle n’utilisait que pour les mariages, avec des talons de plus de 10 cm. Mais surtout, obéissant à la demande, elle s’était totalement dévêtue, offrant à l’assemblée une vision extraordinaire, ses gros seins dardant agressivement leur téton et son sexe rasé impudique dévoilant ses grosses lèvres. La hauteur des escarpins bombait ses fesses de manière obscène. La scène était surréaliste. Pour différentes raisons, nous étions tous les trois bouche bée devant l’apparition de cette sirène.
– Je vois que tu as vite pris le pli…Alors maintenant tu vas te mettre à genoux Üçyol travesti devant nous, ouvrir nos braguettes et nous tailler une pipe…Tu vas voir Serge, cette salope est une suçeuse de première!
Sans dire un mot, Verena s’agenouilla devant eux, et de ses mains menues défit la ceinture du paysan, ouvrit sa braguette et en sorti le sexe déjà à demi bandé. Puis elle s’attaqua au pantalon du contremaître. Quand fut venu le moment de sortir le sexe de son fourreau, ma femme eut un mouvement de recul. Au début je ne comprenais pas pourquoi, mais quand je vis l’engin, tout s’éclaira! Sans être en érection, sa taille paraissait déjà démesurée. Il lui arrivait à mi-cuisse, alors que le gland était encore recouvert du prépuce.
– Ha ha ha, glapit le propriétaire, je paris que tu n’as jamais vu de bite aussi grosse que celle-là! C’est pas pour rien qu’on l’appelle l’âne. Il en a fait couiner des salopes sur sa biroute le Serge! Allez, tu vas commencer par t’occuper de moi, tu passeras au morceau de choix après.
Lentement, mon épouse attrapa le sexe du paysan, commença à enrouler sa langue sur le gland, lécha la hampe de chair sur toute sa longueur, descendant jusqu’aux testicules qu’elle eut du mal à gober tellement elles étaient pleines. Puis remontant sur le pieux tout en continuant à le lécher, elle enfourna le gland dans sa bouche, et commença à pratiquer des vas et viens, tout en masturbant le pieux avec sa main.
– On met les mains sur la tête pour faire une pipe salope. Il s’agit pas de me faire venir trop vite, je veux profiter de toi le plus longtemps possible!
Obtempérant, Verena s’appliqua à emboucher le membre du mieux qu’elle pouvait, descendant un peu plus loin chaque fois. Le sexe luisait de la salive de mon épouse.
– Tu es vraiment une bonne pute…Même rien qu’avec la bouche, tu vas presque réussir à me faire gicler. Occupe-toi donc de Serge, maintenant qu’il a pris de la vigueur en regardant le spectacle!
Je jetais alors un œil au contremaître, enfin je devrais dire au sexe du contremaître. En fait, je ne sais pas si on pouvait encore qualifier de sexe l’engin qu’il portait entre les jambes. Il avait maintenant pris toute sa vigueur et bandait de manière obscène. Il lui arrivait au-dessus du nombril. Le gland bien que déjà d’une taille respectable, paraissait petit par rapport au reste de la mentule. Large, noueuse et longue de plus de 30 cm, on aurait dit un gros concombre.
Verena se tourna vers lui, les yeux exorbités. Elle s’approcha et commença à laper à petits coups de langue le chibre. Quand elle voulut l’enfourner, seul le gland pouvait rentrer, le reste du membre distendant ses lèvres et sa mâchoire. Le contremaitre pris alors la tête de ma femme entre ses mains et commença à lui appliquer des allers-retours sur son sexe, utilisant sa bouche comme un vulgaire con, provoquant par là même des hoquets à ma douce et tendre. Le paysan, tout en continuant à se masturber, s’était levé pour mieux observer la scène. Ma femme, à genou, les mains sur la tête, en train de se faire baiser la bouche par un membre démesuré. A chaque coup de la colonne de chair, son bassin se soulevait. N’y tenant Üçyol travestileri plus, le propriétaire s’agenouilla derrière elle, lui écarta les jambes et la fit se cambrer, avant de l’embrocher d’un seul coup. A la facilité avec laquelle il s’engouffra, je supposais que le sexe de Verena devait être bien humide, et le gros porc confirma ça :
– Rhaaa, c’est bon de te baiser! A voir comme tu es mouillée, je suis sûr que tu prends ton pied à sucer de bonne bites comme les nôtres. Et là je vais te faire couiner comme la dernière fois.
Il commença à la pilonner à grands coups de butoirs. Chaque fois qu’il donnait un coup de rein, le sexe du contremaître s’enfonçait plus profondément dans la gorge de Verena. Elle en avait les larmes aux yeux. Le paysan, alors qu’il l’embrochait sur son dard, attrapait les gros seins de ma femme, en pinçant ses tétons.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, il se retira.
– Maintenant petite salope, tu vas t’enfiler sur le chibre de serge. Je t’ai un peu élargie mais tu vas quand même couiner. Tu n’as jamais dû recevoir une bite comme celle-là, sauf si tu te fais baiser par des ânes!
Sans un mot, la tête baissée, Verena enjamba le contremaître toujours assis sur sa chaise, et positionna l’énorme mentule. Quand elle s’abaissa, le gland rentra assez facilement, mais à peine un tiers du sexe la pénétra. Elle commença à faire des va et vient de haut en bas. Chaque fois, elle s’enfonçait un peu plus. Ce fût bientôt la moitié qui disparût, puis les deux tiers. Là il sembla que plus rien ne pouvait rentrer. Le contremaître la saisit alors par les hanches et commença à la soulever et à la laisser retomber. Il appuyait sur les hanches tout en donnant des coups de reins, faisant, chose incroyable, pénétrer le sexe encore plus profond. Après quelques minutes de ce traitement, le membre entier disparût dans le sexe de ma femme, seuls les testicules remplis de leur liqueur ressortaient. Ma femme poussait de petits cris, qui ne me semblaient pas être de douleur, à chaque intromission. Ces cris étaient de plus en plus fort, annonciateurs d’une jouissance prochaine.
Le paysan n’avait rien manqué du spectacle et continuait de se masturber. Il faut dire que le tableau était sacrément excitant, ma femme, si prude, si timide, en train de s’agiter sur un sexe démesuré, et y prenant sans contexte du plaisir. Le sexe de Verena était totalement distendu, offrant une vue impudique sur son anus. Notre propriétaire cracha sur ses doigts et s’approcha du couple en action. Avec son majeur lubrifié par son crachat, il commença à exercer de petites pressions sur l’œillet de ma femme. Celle-ci, toute perdue à sa jouissance montante, ne se rendit compte de rien dans un premier temps. C’est quand il rentra son majeur, d’un coup, jusqu’à la garde, qu’elle poussa un cri de douleur.
– Non pas ça, s’il vous plait!
– Bien sûr que si que je vais mettre ma bite dans ton cul. Sois heureuse que je te prépare avec mon doigt avant!
– S’il vous plaît non! Je ne l’ai jamais fait!
– Eh bien, il faut un début à tout…autant commencer par une belle bite! Maintenant ta gueule et cambre toi bien, ça sera Travesti üçyol plus facile!
Vaincue, humiliée, Verena obéit et ambra au maximum, le sexe du contremaitre toujours enfoncé jusqu’à la garde dans le sien. Le paysan présenta son gland énorme devant l’anus de ma femme. Je me disais que ça ne pourrait jamais rentrer, surtout avec le sexe du contremaitre toujours présent. Effectivement, malgré la salive dont il s’était enduit le gland, celui-ci butait sur le sphincter réfractaire. Il pesa de tout son poids et d’un coup, dans un grand cri de ma femme, le gland fut absorbé. Le plus dur était passé! Lentement il coulissa dans l’étroit conduit, élargissant les chairs. Verena poussait un long râle de douleur, les yeux exorbités, la bouche grande ouverte. Le contremaitre ne bougeait pas pour aider l’intromission.
– Ah ça y est ma pute, je te l’ai mise en entier dans le cul, maintenant on va pouvoir te bourrer en cadence!
Et joignant le geste à la parole, ils commencèrent à pilonner ma femme de concert, avec des coups de reins alternés. Rapidement les cris de douleur de mon épouse firent place à des sons beaucoup plus évocateurs de la jouissance, pour finir dans un orgasme totalement impudique.
– Ca y est tu couines à nouveau comme la belle salope que tu es. En fait tu adores ça te faire ramoner la chatte et le cul en même temps! Allez dis-le que tu adores ça!
– Nooon
– Je te dis de le dire! Vu les cris que tu pousses tu n’as pas le choix!
– Je…J’aime ça
– Tu aimes quoi?
– J’aime me faire prendre en même temps par vous
– Par nos deux grosses bites?
– Oui…par vos deux grosses bites.
– Et bien voilà, c’est pas si difficile de dire la vérité! Maintenant on peut te remplir la chate et le cul avec notre foutre!
La cadence accéléra encore de la part des deux hommes. Verena, qui semblait partie dans une jouissance continue était ballotée de toute part sous les assauts de ses amants…
Les hommes poussèrent alors des cris de bête alors qu’ils jouissaient simultanément dans ma femme, inondant son vagin et son intestin de leur sperme. Le paysan fut le premier à se retirer du fondement de Verena. Quand son sexe sortit, un bruit de succion se fit entendre. Le contremaitre la souleva alors et se retirant la déposa par terre, chancelante sur ses hauts talons, du foutre s’échappant de ses orifices en larges trainées qui s’étalaient sur ses jambes, se répandant aussi sur le sol.
– Nettoie nous la queue en nous suçant un peu…et puis tu mettras ça, dit-il en sortant d’un sac une espèce de nuisette transparente qu’il jeta par terre.
Mon épouse obéissante s’appliqua à ce qu’aucune trace ne reste sur les sexes des deux hommes, les faisant luire de sa salive. Puis, soumise, elle enfila la nuisette.
– Viens avec nous, on va faire un tour
– Mais ce n’est pas du tout ce qui est prévu, dis-je
– Tu croyais pouvoir payer les intérêts d’une semaine avec une petite baise de rien du tout? Toi tu restes ici, elle, elle vient avec nous. Elle reviendra demain matin, et si elle est bien obéissante, vous aurez un délai d’une semaine de plus.
– Mais ou allez-vous?
– Ca ne te regarde pas!
Et je les vis passer la porte de la maison, Verena au milieu des deux, avec une nuisette indécente et des hauts talons comme seuls vêtements. Le paysan se mit au volant de la 4L, le contremaître montant à l’arrière avec ma femme. Et je les vis partir ainsi.
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