Le cauchemar de Christine Ch. 03
Coulybaca / Pas
Christine se rua hors du magasin comme si les quelques employés res-tants pouvaient voir des traces de la semence de Charlie sur son visage, sans tenir aucun compte qu’elle venait de frotter frénétiquement son vi-sage dan la salle de bain.
Charlie avait gardé son soutien-gorge, aussi ses nibards se balançaient-ils mollement au gré de ses pas.
Elle retrouva Charlie qui l’attendait.
Il li dit de laisser a voiture dans le parking du magasin, il l’emmenait dans sa voiture.
Elle s’assit et resta silencieuse, ignorant ses commentaires au sujet de la cravate de notaire dont il était ravi.
Il rangea la voiture dans l’allée du garage d’une petite maison à un étage.
Ne sachant pas grand chose de Charlie, elle supposa que c’était son domicile, elle se demandait où habitaient les parents de ce jeune de 18 ans.
Elle ignorait totalement qu’en fait c’était là que demeurait Barry, c’était sa maison.
Le jeune homme de 19 ans qu’elle avait fait virer parce qu’il aidait un de ses copains, Léo à dérober des marchandises.
Barry, avec l’aide de ses parents louait cette petite maison, fréquentant le lycée à mi temps, il travaillait à mi temps.
La maison était rustique mais elle convenait parfaitement à un jeune de 19 ans qui aimait y faire la fête.
Charlie la fit entrer. Elle voulut faire demi tour en voyant Barry et Léo as-sis sur le lit. Mais Charlie la suivait et avait déjà verrouillé la porte.
– “Qu’est ce que ça veut dire?…” s’emporta-t-elle affolée.
Charlie rit à gorge déployée.
– “T’ai-je dit que Barry et Léo ont visionné tes cassettes, eux aussi ils ont trouvé ça marrant ….”
– “Sale enculé!…..” rugit-elle, se retournant pour s’enfuir.
Mais Charlie la repoussa dans la salle.
– “Il n’y a aucune chance que je couche avec vous trois!…” insista-t-elle furieuse.
– “Que tu sois d’accord ou non, c’est exactement ce qui va t’arriver …” lui rétorqua Barry, il fit un pas en avant et se saisit d’un de ses nibards, Movie chercha à se dérober, mais elle état bloquée.
– “Viens ici Christine tu as déjà consenti à baiser avec moi!….” lui rappela-t-il Charlie cyniquement.
Christine devint écarlate.
– “Avec toi et pour récupérer ces saloperies de cassettes!….. Je n’ai jamais été d’accord pour me faire partouzer!….”
– “C’est ce qu’on va voir …” se marra Léo railleur.
Ils l’empoignèrent tous les trois et commencèrent à la déshabiller.
Christine cherchait à résister, mais bientôt elle se retrouva au sol, che-mises et caleçons retirés. Puis ils lui arrachèrent sa petite culotte.
Comme elle se débattait elle sentit les trois paires de main l’empoigner, elle redoubla d’efforts pour se libérer lorsque soudain un doigt impérieux parcourut sa touffe rousse et plongea dans sa chatte.
– “Calme toi et tout se passera bien! ….” lui dit Barry
– “On ne veut que passer la nuit avec toi, pour te remercier de ce que tu nous a fait, ensuite on passera l’éponge, sinon on met les cassettes en circulation!…” lui rappela sobrement Charlie.
Christine se résigna :
– “C’est … C’est d’accord … mais vous mettrez des ….. des capotes!….”.
Choquée elle vit Léo se lever et s’emparer d’une caméra vidéo.
Elle s’empressa de dissimuler ses appâts de son mieux.
– “Ne te tracasse pas Christine ….” l’avisa Charlie.
– “C’est juste pour nous protéger quelque fois que tu voudrais porter plainte pour viol …. Et maintenant regarde la caméra et dit que tu veux qu’on te baise jusqu’à l’os cette nuit!…..”
Christine ne savait quoi faire!
Les yeux grands comme des soucoupes elle voyait Léo filmer chacun de ses gestes.
– “Ouvre tes cuisses en grand et demande nous de te baiser!….” lui répéta Barry impatient.
Christine retenait sa respiration, puis elle bougea les mains, écartant ses cuisses en grand.
– “Je voudrai que vous me baisiez tous les trois cette nuit!….” an-nonça-t-elle face à la caméra.
Charlie s’était débarrassé de son pantalon et l’enfourchait déjà.
– “Enfile une capote insistait-elle.
– “Baise moi couvert!….”
Christine chercha à le repousser, mais déjà il plongeait sa bite dans Lara Travesti son étroite petite chatte.
Pire encore, Léo filmait la scène évidemment.
– “Non .. je vous en prie ……. Eteignez la caméra!…..” s’écriait-elle affolée.
Charlie la labourait furieusement, Christine remuait les hanches sur un rythme saccadé, de droite à gauche, cherchant à échapper à sa bite non protégée, mais elle s’avérait incapable de l’expulser de sa grotte affolée.
Elle lui avait déjà fait une pipe, s’était fait brouter le gazon, lui avait pro-digué une cravate de notaire, et voilà que maintenant il prétendait faire quelque chose qu’elle le interdisait même à son petit ami il s’apprêtait à se vider les couilles dans son utérus.
Charlie lui labourait la chatte sans aucune pitié, bine qu’il ait déjà joui en cette fin de matinée, il était incapable de se contrôler.
– “Bordel ….” cria-t-il soudain alors que ses couilles se vidaient dans sa moule embrasée.
– “Oh non … pas ça …..” l’implora-t-elle de nouveau en le sentant jouir.
Elle sentait sa chaude semence lui emplir la cramouille au risque de l’engrosser.
Charlie en avait fin rapidement.
Ce fut alors au tour de Barry qui s’était prestement déshabillé de s’instal-ler entre ses cuisses. Sa bite était plus courte que celle de Charlie, bien plus épaisse, elle ressemblait à celle de son petit ami.
Elle aurait aimé résister mais Barry agit trop vite pour qu’elle le puisse, la caméra ne perdait pas une miette de sa seconde séance de baise.
– “C’est formidable …” lui dit Barry
– ” Ca valait bien le coup de se faire vider pour pouvoir te baiser!….”
Christine était allongée immobile alors que Barry pointait sa grosse bite sur sa chatte engorgée de foutre. Il la baisait plus lentement, plus lasci-vement que Charlie. Cette façon de la baiser lui convenait, on pouvait même dire qu’elle l’appréciait.
Si ce n’était le fait qu’ils la faisaient chanter, dans d’autres circonstances, elle aurait savouré cette partie de jambes en l’air avec Barry. Mais elle ne pouvait le leur monter!
Barry sentait ses burnes se remplir alors qu’il labourait Christine, il bais-sa la tête et entreprit de lui sucer son téton gauche alors qu’il caressait son autre mamelon de l’autre main.
Une onde de plaisir indésirée diffusa de ses tétons tendrement manipu-lés ver son clito sur lequel sa hampe venait se frotter à chaque pénétra-tion.
Christine avait déjà joui une première fois sous les assaut de Charlie dans le bureau, elle avait peur de jouir à nouveau sous les assauts de Barry.
Elle se mordait les lèvres, essayant d’interdire à son corps d’apprécier ce qui lui arrivait.
Elle était sur le point de s’envoyer en l’air lorsque Barry se mit à grogner et lui tapissa les muqueuses de sa gourme chaude.
Barry se retira de sa chatte et se releva.
Alors qu’il s’éloignait d’elle, elle regardait sur Léo qui se dépouillait de son jean et de son caleçon.
Elle écarquilla des grands yeux incrédules à la vue de le sa pine.
Elle était encore plus épaisse que celle de Barry et mesurait au bas mot 25 cm, une queue bien plus grosse que toutes celles qu’elle avait connues à ce jour.
Christine ne voulait pas se faire baiser par Léo, mais la vue de sa pine, et le fait d’être sur le point de jouir l’amenèrent inconsciemment à ouvrir les cuisses en grand pour mieux l’accueillir.
Léo la rejoignit au sol. Mais au lieu de l’enfourcher, il fit mettre la rou-quine à quatre pattes, Christine savait que dans cette position il la péné-trerait bien plus profondément qu’en s’allongeant sur elle.
Il s’engouffra en elle, elle grogna sourdement alors qu’il plongeait au coeur de son intimité, butant d’entrée sur le col de son utérus, ce qui la fit hurler.
Christine ne parvenait pas à croire à quelle point elle était pleine de lui, lorsqu’il entreprit de la labourer elle fut immédiatement terrassé par un violent orgasme.
Ravi, Léo sentait sa chatte palpiter sur sa hampe, elle aurait voulu le ca-cher à leurs yeux et à la caméra, mais elle n’y parvenait sa jouissance s’étalant sous leurs yeux et sous l’objectif de la caméra.
Tout prêt de jouir à son tour, Léo s’enfonça de toute sa longueur dans son utérus Lara Travesti meurtri. Christine tendait le ventre, l’aspirant au plus profond de ses entrailles amplifiant leur plaisir.
Soudain elle sentit sa bite déserter sa chatte, il pressait son gland en-gorgé contre son étroit petit oeillet affolé.
De prime abord elle crut qu’il se trompait de trou, mais lorsqu’il se pressa plus fort contre son annelet crispé de peur, elle comprit sa véritable in-tention.
– “Oh non … Pas ça … Ne me fais pas ça!….” grommela-t-elle cher-chant à le repousser.
Mais Léo la tenait fermement aux hanches et se préparaient à l’envahir.
– “Tu vas me payer ce que tu m’as fait salope …… Je vais te caser le cul!…..”.
Christine était au bord de la panique, on lui avait déjà doigté le trou du cul, mais cela lui avait tant déplu qu’elle n’avait permis à personne d’aller plus loin, et voilà qu’elle était sur le point de se faire baiser par son trou du cul si étroit et pas par une bite ordinaire, mais par la gigantesque bite de Léo.
– “S’il te plait … Non … Pas ça ….” hurla-t-elle terrifiée.
Léo se contenta d’en rire, s’engouffrant d’un terrible coup de rein dans son trou du cul rétif.
Elle hurla de douleur et de fureur mêlées alors qu’il forait son trou dans son intestin. Il s’enfouissait de plus en plus profondément à chaque coup de boutoir, sa douleur croissait à chaque coup de boutoir.
Il ne s’avoua satisfait qu’une fois sa bite entièrement logée dans son fourreau asservi, il se mit alors à la labourer sans pitié.
– “Ohhhhhhhhhhh ….. Nonnnnnnnnnnn …… s’époumonait-elle alors qu’il lui dévastait l’anus.
Il se réjouissait de l’entendre hurler si fort, cela ne faisait que l’encoura-ger à la baiser de plus en plus frénétiquement, il sentait poindre un puis-sant orgasme.
– “Oh oui …” ricana-t-il sobrement en vidant les couilles au fin fond des ses intestins.
Une fois qu’il en eut fini, il extirpa violemment sa bite de son trou du cul meurtri, lui arrachant de nouveaux cris de douleur, le retrait s’avérant aussi douloureux que l’effraction initiale.
Elle gisait au sol, secouée de soubresauts nerveux, priant pour que les trois hommes en aient fini avec elle.
Ayant l’opportunité de la prendre autrement, Charlie s’installa dans son dos et lui fourra la bite dans le cul.
Comme sa queue était beaucoup plus fine, elle s’en accommoda plus facilement bien que cela lui fit un peu mal.
Barry se positionna face à elle, sa queue à lui aussi avait repris de la vi-gueur, il lui agrippa les cheveux et se posta face à son visage.
Instinctivement Christine ouvrit les lèvres et l’emboucha se mettant im-médiatement au travail.
Elle était embrochée par les deux bouts, comme une volaille au barbe-cue, Charlie en cul, Barry en bouche!
Barry lui remplit rapidement la bouche de son foutre épais, légèrement salé.
Alors qu’il se retirait, Charlie gicla à gros bouillons dan ses intestins.
Dès qu’ils se relevèrent, Léo les remplaça.
– “Fais moi une pipe!……” lui intima-t-il
Christine n’était pas certaine de pouvoir l’emboucher en totalité, et elle ne désirait pas le faire alors que sa bite sortait de son trou du cul.
Léo ne lui laissa aucune chance de résister.
Il lui attrapa la tête et la pressa contre son pubis jusqu’au moment ou elle ouvrit la bouche.
Lorsqu’il parvint au fin fond de sa gorge, il entreprit de la baiser en bou-che faisant de son mieux pour s’enfoncer dans sa gorge. Christine étouffait alors que la grosse mentule obstruait son pharynx.
Elle toussa à plusieurs reprises, s’étouffant, mais Léon continua son oeuvre jusqu’à l’instant ou i lui inonda la gorge de son foutre suret.
Lorsqu’il la libéra, elle s’effondra au sol et s’évanouit.
En se réveillant, elle constata qu’après l’avoir enfourché, Léo se faisait une cravate de notaire.
En sentant du foutre encore tiède s’étaler dans son cou, et voyant Barry la bite ramollie en main, elle supposa qu’il venait d’en faire autant.
La mentule de Léo venait buter contre son menton à chacun de ses mouvements, Christine voyait Charlie debout à quelques pas d’eux qui caméra braquée sur leur couple, enregistrait la scène. Travesti Lara Sa bite était raide tendue, prête pour un nouvel assaut.
Léon commença à gicler entre ses seins, il se releva prestement proje-tant des jets de foutre en direction de la caméra.
Puis Charlie prit sa place entreprit sa cravate de notaire, Christine détes-tait cette façon de se polariser sur ses gros nibards, mais elle ne pouvait rien y faire.
Comme auparavant Charlie lui meurtrissait les nichons jusqu’au moment où il lâcha de nouveau quelques jets de sperme dans son cou.
Léo attrapa la rouquine et l’attira sur lui, sa bite était prête à l’emploi, cette fois elle dut s’asseoir sur son dard, elle se mit à chevaucher sa mentule qui la remplissait toute, c’est alors qu’elle sentit Barry se posi-tionner dans son dos.
– “C’est mon tour de me faire son trou du cul!…” souffla-t-il à son comparse.
Christine aurait voulu résister, mais elle n’en avait plus ni la force, ni la volonté, elle fit une large grimace lorsqu’il pressa son gland mafflu à l’orée de son trou du cul. Elle avait déjà la bite massive de Léo dans la cramouille et voila que Charlie plongeait dans son trou du cul rétif, elle se mit à trembler comme une feuille.
Elle n’avait pas commencé à depuis trois secondes à chevaucher les deux bites insérées dans ses trous adjacents qu’elle vit Charlie à son co-té. Il avait posé la caméra sur la table, pointée dans leur direction et il guidait sa tête vers sa bite pour qu’elle l’enfourne manu militari.
Ils la travaillaient maintenant tous trois de concert, Charlie et Léo lui pe-lotaient les nibards alors que tous trois ils se démenaient dans ses trous asservis.
Sans aucun signe avant coureur, Christine se mit à danser d’avant en arrière, le corps terrassée par un orgasme d’intensité 8 sur l’échelle de Richter.
Elle amplifia le rythme de la chevauchée et rebondit d’orgasme en or-gasme sous les yeux satisfaits de ses trois agresseurs, jamais elle n’au-rait pensé que ça puisse être si bon d’être baisée simultanément par trois hommes virils.
Elle se maudissait de prendre un tel plaisir, et d’être totalement incapa-ble d’endiguer le flot de sensations qui la faisaient totalement planer.
Plusieurs minutes s’écoulèrent et elle jouit à nouveau alors que Charlie lui lâchait sa purée en pleine bouche.
Comme il se retirait, elle sombrait dans un nouvel orgasme, les deux qui la labouraient simultanément lui procuraient un plaisir inimaginable.
– “Oh mon Dieu …Oui!….” grogna-t-elle, sourdement alors qu’un or-gasme insensé prenait le contrôle de son corps et de son esprit.
Elle gémissait de délice alors que son orgasme durait, et durait encore.
Les deux hommes jouirent simultanément dans ses profondeurs intimes, elle jouissait toujours.
Enfin son orgasme diminua d’intensité et s’évanouit alors qu’ils extir-paient leurs bites de ses chatte et trou du cul.
Jambes tremblantes Christine se dirigea vers le lit où elle s’effondra éreintée.
Ils en avaient fini avec elle. Ils lui permirent de se rhabiller et Charlie la ramena au magasin où elle put récupérer sa voiture pour rentrer chez elle.
Elle prit une longue douche avant d’aller ses coucher.
Le lendemain elle dormit pratiquement toute la journée, elle était confuse, ne sachant que penser ce se qui lui était arrivé la veille.
Il était certain qu’elle avait été forcée d’avoir ces relations sexuelles, mais elle avait tant joui à la fin.
Le lendemain son petit ami rentra à la maison pour le week-end.
Christine était anxieuse de le revoir, mais lorsqu’elle arriva chez ses pa-rents, ils montèrent tout de suite à l’étage, dans sa chambre.
Il s’assit sur le lit et regarda la télé.
Au son elle comprit tout de suite qu’il regardait un film porno.
Elle allait dire quelque chose lorsqu’elle reconnut sa voix provenant de la télé, elle blêmit en regardant l’écran.
On l’y voyait baisée par Charlie, Léo et Barry.
La qualité de cette cassette était assez bonne pour que Christine ne manque rien de sa performance.
Son petit ami la fixait interloqué, ses yeux lui disaient ce qu’elle voulait entendre.
Christine se rua hors de la maison, elle savait maintenant que leur ven-geance était totale, sa relation amoureuse était terminée
Elle retourna chez elle se demandant si c’était vraiment fini, ou s’ils avaient l’intention de l”humilier encore à l’avenir.
16 janvier 2007
Coulybaca
Avec l’aimable autorisation de l’auteur : Pas
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