Jeune Femme Dévergondée 03
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C’est difficile d’affronter la vérité en face et de s’avouer que l’on fait mauvaise route si près du but.
BÉRENGÈRE : Non ! Je ne veux plus jamais penser à toi. Ni à ce que tu m’as fait. Va-t’en !
« Qui est-ce? » Me demande Jason.
« Ma sœur » Jason ne s’immisce jamais quand nous discutons, ma sœur et moi.
SERGUEÏ : Sergueï pense à la belle Bérengère et à sa peau si douce
BÉRENGÈRE : STOP. Va-t’en !
SERGUEÏ : Bérengère trouve Sergueï moche. Sergueï n’est pas toujours moche.
BÉRENGÈRE : STOP. Je raccroche.
Mais avant que je puisse raccrocher, un autre message est arrivé avec une photo en pièce jointe. Il s’agit d’un homme jeune vêtu d’un maillot rouge avec “CCCP” écrit en lettres majuscules sur la poitrine. C’est évidemment Sergueï, à l’époque, avec des cheveux, des muscles saillants et pas d’embonpoint. Les choses ont bien changé.
SERGUEÏ : Sergueï s’entraîne pour les Jeux olympiques de 1972.
BÉRENGÈRE : Tu as participé aux Jeux olympiques?
SERGUEÏ : Père mourant. Sergueï prendre soin de mère et jeunes frères, pas de Jeux Olympiques
SERGUEÏ : Sergueï pas toujours laid
BÉRENGÈRE : Bon, je raccroche.
SERGUEÏ : Bérengère, si belle, toujours toute belle partout
BÉRENGÈRE : Arrête
SERGUEÏ : Dis à Sergueï que Bérengère se sent belle aujourd’hui
BÉRENGÈRE : Arrête
SERGUEÏ : Tu as crié le nom de Sergueï aujourd’hui
Ah, bon? Puis, je me souviens. Ouais, pendant mon orgasme, j’ai crié son nom.
BÉRENGÈRE : Arrête
SERGUEÏ : La chatte de Bérengère est plus sucrée qu’un fruit mûr
Sergueï a passé du temps à me bouffer la chatte. Lécher, sucer et doigter, avant de me baiser. Une sensation étrange envahit mon bas-ventre. Comme un envol de papillons. Seule, je me doigterais.
BÉRENGÈRE : Tu dois arrêter. Jason est assis juste à côté de moi.
SERGUEÏ : Est-ce que le chétif Jason aime le goût de la chatte de Bérengère?
BÉRENGÈRE : Ce ne sont pas tes affaires. Arrête.
Je ne sais pas pourquoi je ne raccroche pas. Le désœuvrement? Peut-être l’envie de lui faire du mal? Il me déstabilise. Jason ne connaît pas le goût de ma chatte, il ne pratique pas le sexe oral.
SERGUEÏ : Sergueï pense que le chétif Jason ne peut pas satisfaire Bérengère
BÉRENGÈRE : Jason est un meilleur amant que toi ! Toi, tu n’es qu’une brute
SERGUEÏ : Quand Bérengère a joui, Sergueï a compris qu’elle n’avait jamais connu cela avant
Je lis et je relis sa phrase. Ma bouche reste grande ouverte. Sergueï a tout compris, du premier coup.
BÉRENGÈRE : Tu es fou ! Arrête.
SERGUEÏ : Sergueï donne à Bérengère la meilleure jouissance de sa vie
BÉRENGÈRE : Tu es un monstre, un pervers et un fou
SERGUEÏ : La chatte de Bérengère serre la bite de Sergueï quand Bérengère jouit
Je ne sais pas si c’est vrai. Je me suis souviens d’une étrange sensation. Une pression supplémentaire
BÉRENGÈRE : Arrête. Tu m’énerves
SERGUEÏ : Sergueï capable de contrôler toujours. La chatte de Bérengère fait perdre le contrôle à Sergueï et il jouit le plus fort de sa vie.
Je me souviens de son rugissement quand il a éjaculé en moi. Un cri de surprise ou de satisfaction? En y repensant, je comprends que j’ai fait jouir Sergueï comme jamais auparavant. Pourquoi est-ce que j’apprécie ce fait sordide? Un petit sourire de fierté naît sur mon visage.
BÉRENGÈRE : Nous sommes arrivés. Je raccroche
SERGUEÏ : Bérengère a des choses à dire à Sergueï pour que Bérengère se sente mieux
BÉRENGÈRE : Je n’ai rien à te dire. JAMAIS !
SERGUEÏ : Peut-être que Bérengère pensera à insulter Sergueï plus tard. Sergueï va.
C’est tout. Nous sommes arrivés chez mes parents et j’éteins mon téléphone.
Jason voit l’expression sur mon visage et demande : « Tout va bien? »
« Ouais, super » Ce mensonge, c’est mieux que d’expliquer que je viens de découvrir que je suis le meilleur coup dans la vie d’un ancien lutteur olympique soviétique de 70 ans.
« Jason est parfait pour toi » m’a dit ma sœur. Elle a six ans de plus que moi et deux enfants. Elle est venue me voir avant la répétition.
« Je suppose, en tout cas c’est un choix raisonnable » Nous sommes dans ma chambre, chez les parents, une pièce où j’ai tant de souvenirs.
« Tu n’as pas l’air aussi sûre de toi qu’au téléphone l’autre jour »
Je pense que je suis aussi sûre de moi qu’une fille peut l’être quand elle a la chatte encore remplie du sperme d’un autre homme.
« La cérémonie approche, probablement l’anxiété »
« C’est naturel » Janique est toujours de bon conseil.
« Moi, j’ai failli m’enfuir la veille de mon mariage ! »
« Je me souviens que tu avais peur d’être attachée à la dernière seconde ! »
« Attachée, menottée, fessée ! » dit-elle en riant.
Je dois avoir une expression étrange sur mon visage.
« J’ai oublié que je parle à ma petite sœur si austère. Tu ne le fais que dans l’obscurité ! C’est pour ça que je pense que vous êtes faits l’un pour l’autre. Vous ne ferez jamais quelque chose de sauvage ou de pervers. Juste trabzon escort dans la position du missionnaire, le samedi soir, dans le noir ! »
Elle trouve ça très drôle et me pousse du coude pour me faire rire.
Je fais juste « Ha ! Ha ! » Le visage impassible. Qu’est-ce qu’elle en sait? Jason voudrait le mercredi et le dimanche. Et Sergueï, maudit Sergueï, avec sa grosse bite, me forçant, s’imposant, et me troublant les idées.
« Bérengère? Tu m’écoutes? »
« Ouais. Laisse Jason tranquille. C’est un homme bien et il m’aime »
« Je plaisante. Je dis juste qu’il n’est pas le gars le plus audacieux du monde. Tout comme toi. C’est pour ça que vous allez bien ensemble. Pas de surprises. Je dois partir. On se voit ce soir »
Elle me fait un câlin, puis elle me scrute en me tenant à bout de bras.
« Qu’est-ce qu’il y a de différent chez toi? Tu as des soucis? »
Ma sœur me connaît bien. Elle remarque des choses que Jason ne verra jamais.
« Nervosité, anxiété, tout ces trucs-là. Je suppose que ça passera après le mariage »
« Ouais, repose-toi un peu avant la répétition. Ça va être le grand tourbillon ces prochains jours »
J’aimerais pouvoir lui dire que le grand tourbillon a commencé hier avec ma première gorge profonde, et qu’il s’est poursuivi aujourd’hui avec cette énorme bite qui m’a re-calibré la chatte. Oh, et au passage, le vieillard lubrique m’a donné le plus grand orgasme de ma vie. Voilà pour le début du tourbillon. Tout cela m’est arrivé à cause de Sergueï. Je n’aurais pas dû vivre cela.
Je n’étais pas programmée pour. Je devrais être la fille la plus heureuse du monde en ce moment. Sergueï devrait avoir honte de faire du mal à une jeune femme. Il n’a probablement aucune idée du tourment que je subis. S’il s’excusait, je me sentirais mieux. Le salaud ! Direct, je sors mon téléphone et je reprends la conversation :
BÉRENGÈRE : Tu devrais t’excuser pour tout le mal que tu m’as fait
Pas de réponse. J’attends un peu. Peut-être fait-il la sieste? Ou est-il au café, avec ses potes? Il est peut-être dans un endroit bruyant, et il n’entend pas biper son téléphone. Pas la peine d’insister, je vais remettre mon téléphone en veille.
SERGUEÏ : Sergueï désolé
Bien. Il doit savoir qu’il a mal agi, il se sent coupable et il regrette le mal qu’il m’a fait subir.
SERGUEÏ : Sergueï désolé d’avoir fait jouir Bérengère aussi fort
Bon sang ! Le fumier ! Il se fout de moi !
BÉRENGÈRE : Tu ne sais rien de moi, connard !
SERGUEÏ : Sergueï lèche le trou du cul de Bérengère. Bérengère frissonne quand Sergueï lèche
Mon Dieu ! J’avais oublié ça. Jusqu’à maintenant. Je me souviens maintenant comment j’ai serré mes fesses quand il a envahi mon anus avec sa langue.
BÉRENGÈRE : J’exige des excuses.
SERGUEÏ : Sergueï, désolé que le petit Jason ne satisfait pas le corps sensuel de Bérengère
BÉRENGÈRE : Ce n’est pas à propos de Jason. C’est à propos de ce que tu m’as fait. Ce n’est pas ce que je voulais et tu as profité de ma faiblesse.
SERGUEÏ : Sergueï voit le chétif Jason ne pas satisfaire la belle Bérengère. Sergueï malheureux de voir Bérengère malheureuse. Bérengère est magnifique et les vrais hommes peuvent satisfaire la belle Bérengère.
Je n’arrive à rien avec cette brute épaisse qui ne comprend que ce qu’il veut. Je l’imagine essayant de taper un texte sur son téléphone avec ses gros doigts. C’est pour ça qu’il est si lent. Cela me fait sourire de savoir qu’il souffre un peu à cause de moi.
Même si j’ai du mal à l’admettre, je reconnais la sincérité de sa déclaration. Jason me tient pour acquise et ne fait pas beaucoup d’efforts pour me satisfaire au lit. Sergueï, malgré sa rudesse, me fait sentir désirée, convoitée, comme un bijou précieux. Je me suis sentie belle et désirée. Mon corps a répondu à cela favorablement et finalement stimulé sa passion. Quelque chose que Jason n’a jamais déclenché en moi.
BÉRENGÈRE : Tu as tellement tort !
SERGUEÏ : Bérengère dit que Sergueï ne fait pas en sorte que Bérengère se sente spéciale.
BÉRENGÈRE : Tu me dégoûtes. Excuse-toi.
SERGUEÏ : Bérengère dit que son corps ne se sent pas différent
BÉRENGÈRE : Juste violée
SERGUEÏ : Bérengère dit qu’elle n’aime pas la bite de Sergueï dans sa bouche ou dans sa chatte
En voyant le mot “chatte”, j’ai serré mes jambes l’une contre l’autre, et une secousse m’a traversée. Cela me fait penser à ce “monstre” caché entre ses cuisses velues. Comment ai-je pu avoir “ça” dans ma bouche? Est-ce que “ça” a vraiment pu rentrer si profondément en moi. Je serre plus fort mes jambes en me balançant un peu.
BÉRENGÈRE : Tu es dégoûtant. Jason est tout ce dont j’ai besoin.
SERGUEÏ : Le chétif Jason ne satisfait pas la magnifique Bérengère
Je pensais que Jason et moi avions une vie sexuelle satisfaisante, mais c’était avant que je sache à quoi ressemble un véritable orgasme.
SERGUEÏ : Sergueï a besoin d’une photo de la belle Bérengère à regarder
BÉRENGÈRE : Tu es fou. Jamais !
SERGUEÏ : Sergueï tunceli escort n’a plus de photo après avoir supprimé la vidéo de Bérengère
BÉRENGÈRE : Tu es irrespectueux.
SERGUEÏ : Sergueï a le plus grand respect pour la belle Bérengère
BÉRENGÈRE : Tu ne le montres pas.
SERGUEÏ : Sergueï le montre en adorant Bérengère, son corps, ses pieds, ses seins, son cul, sa chatte
Oh mon Dieu ! Il m’a adoré ce matin. C’est exactement ce que j’ai ressenti. Il y avait une adoration derrière sa brutalité. Je ne savais pas pourquoi je n’ai pas ressenti de peur avec lui. Il y avait cette adoration qui me rassurait.
BÉRENGÈRE : Arrête
SERGUEÏ : Sergueï voit Bérengère jouir. Ton visage, ton corps dit à Sergueï que Bérengère aime
Un long moment s’écoule. J’essaie de traiter cela. Il attend ma réponse.
BÉRENGÈRE : Mon corps a réagi par réflexe. C’est tout.
SERGUEÏ : La bite de Sergueï dans la belle chatte serrée de Bérengère ne fait rien par réflexe
BÉRENGÈRE : Excuse-toi
SERGUEÏ : Tu veux que Sergueï soit désolé d’avoir fait jouir Bérengère.
BÉRENGÈRE : Excuse-toi. Et pense-le.
SERGUEÏ : Demain, Bérengère épouse un gringalet, Sergueï ne reparle plus ce soir, envoie une photo de Bérengère pour que Sergueï se souvienne.
BÉRENGÈRE : Tu dois t’excuser auprès de moi si tu as un minimum de décence.
SERGUEÏ : Sergueï est un homme décent et honorable.
BÉRENGÈRE : Ces photos et DVD dégoûtants, ceux que tu m’as fais croire qu’ils étaient à Jason, ce sont les tiens. Est-ce décent?
SERGUEÏ : L’ancien locataire les a laissés cachés dans le placard, Sergueï les a détruits
BÉRENGÈRE : Tu m’as fait chanter. Ce n’est pas décent.
SERGUEÏ : Sergueï voit comment Jason le chétif traite la magnifique Bérengère. Sergueï veut montrer à la belle Bérengère ce qu’est un vrai homme.
SERGUEÏ : Sergueï a eu tort de tromper Bérengère. Sergueï s’excuse pour le tour, mais veut que Bérengère sache
BÉRENGÈRE : Sache quoi?
SERGUEÏ : Que le chétif Jason est l’homme le plus chanceux du monde d’épouser une si belle femme, et Sergueï espère qu’il trouvera les moyens de la satisfaire
Pourquoi ne peut-il pas tout simplement dire qu’il est désolé au lieu de tout ce baratin?
BÉRENGÈRE : J’accepte tes excuses. Je dois y aller.
SERGUEÏ : Sergueï demande respectueusement une photo de Bérengère pour un peu de douceur quand mélancolie prendre Sergueï
BÉRENGÈRE : Non. Au revoir.
SERGUEÏ : Comme cadeau d’anniversaire pour Sergueï
BÉRENGÈRE : J’y réfléchirai.
SERGUEÏ : Surprendre Sergueï avec quelque chose qu’il adorera
BÉRENGÈRE : Au revoir.
Je mets fin à la conversation et je reste assise là, réfléchissant à cette conversation.
Pourquoi devrais-je lui envoyer une photo? Il se masturberait probablement dessus. Ce vieux pervers doit avoir d’autres photos de jeunes femmes dans son téléphone. Si je lui envoie une photo, il faut qu’elle soit vraiment spéciale. Une pensée salace me traverse l’esprit.
Je choisis un espace vide du mur et je prends la pose pour un selfie que je lui enverrais. J’ai une pensée pour ma sœur Janique qui m’accuse de ne jamais être spontanée.
J’ôte mon pantalon, ma culotte, je m’accroupis et, avec le téléphone entre mes jambes, je prends une photo de ma chatte rousse.
Avant que mon courage et ma spontanéité ne s’évanouissent, j’écris joyeux anniversaire, et j’envoie.
Immédiatement, je regrette et je me sens coupable. Je regarde la photo que je viens d’envoyer, et je me rends compte d’un détail atroce. Dans cette position semi-accroupie, ma chatte est grande ouverte, et on peut voir un peu l’intérieur.
Au bout d’une minute, je reçois un message. De Sergueï.
« Sergueï te remercie, joyeux mariage »
Avec une photo de son pénis en érection. Est-ce que j’ai vraiment eu ça dans ma bouche? Est-ce que j’ai vraiment eu ça dans ma chatte jusqu’au bout? Je secoue la tête, incrédule. Je serre mes cuisses l’une contre l’autre, et je me balance. Puis je lui renvoie un texto : “Merci”
*****
« Est-ce que tu aimes mes pieds? »
« … »
« Est-ce que tu penses que j’ai de jolis pieds? »
« Ce sont des pieds, Bérengère. Ils sont faits pour marcher dessus » dit Jason.
Nous sommes enfin dans la suite nuptiale du palace pour notre nuit de noces. Deux jours remplis d’activités et d’émotions qui sont passés à la vitesse de l’éclair. Tout le monde a adoré ma robe. Mon père était si fier de conduire sa fille jusqu’à l’autel. Moi, je n’ai pensé qu’à Sergueï pendant cette courte marche.
Je me demande quelle impression cela fait d’avoir le sperme d’un autre homme en moi pendant que je prononce mes vœux. Mais je garde un grand sourire. Un jour de plus sans Sergueï. Je suis heureuse de m’éloigner de Sergueï. Bientôt, je serai mariée, et je n’aurai plus rien à craindre de Sergueï. Il l’a promis.
Nos grands pères, le mien et celui de Jason, ont l’âge de Sergueï. Je doute que l’un ou l’autre puissent me porter dans leurs bras. Sergueï, lui, m’a baisée jusqu’à uşak escort ce que crie son nom, il a écrasé ma chatte avec son pénis, et j’ai eu un orgasme volcanique qui m’a laissée anéantie et ruinée pour Jason.
Nous avons échangé nos vœux, mis nos alliances, Jason a embrassé sa mariée…
Je suis mariée. De l’autre côté de la barrière. A l’abri de Sergueï. Sauvée !
Cela devrait me rendre heureuse.
Tout le monde mange, danse, chante en portant des toasts. Ma sœur me serre dans ses bras encore plus fort que la fois où elle m’avait percuté avec son auto en faisant une marche arrière.
« Tu es une femme mariée, maintenant ! » M’a-t-elle dit plusieurs fois.
Mon mari me conduit jusqu’au palace où nous sommes enregistrés. Il est tard, nous sommes crevés.
« Tu me portes pour passer le seuil? » Je demande
« Tu plaisantes, n’est-ce pas? »
« C’est une tradition, chéri » Je dis pleine d’espoir.
« Oui, quand les hommes devaient malmener les femmes pour les mettre dans leur lit. Des hommes qui se cassaient le dos toute la journée pour gagner des cacahuètes. Maintenant, les hommes utilisent leur cerveau, comme ton mari ! »
Il déverrouille la porte et entre en premier, sans m’inviter à le suivre. J’ai la certitude de ne pas être malmenée.
« Vas aux toilettes la première, j’irai après »
Je me change en mettant la lingerie coquine que j’ai choisie. Une nuisette presque transparente, très courte et très échancrée. Je marche de manière séductrice jusqu’au lit en tournoyant sur moi-même pour faire voleter ma nuisette.
« Que penses-tu de ça? »
« Tu as l’air bien. Je reviens dans une minute »
Je reste seule sur le grand lit. C’est LA grande nuit. Le grand événement est sur le point de se produire. Tout est censé être si… exceptionnel. Pourquoi ai-je le sentiment que les choses ne font que continuer?
Je reste assise là, à regarder mes pieds, et c’est ce qui me fait penser à ce que Sergueï pourrait dire de mes pieds. C’est pourquoi je questionne Jason quand il sort de la salle de bain. Jason a très peu de poils sur le corps. Presque aucun sur sa poitrine, et juste une petite touffe de poils pubiens brun.
« Ouais, mais tu penses qu’ils sont émoustillants? »
« Emoustillants, comme capables de me donner une érection? Regarde »
Il me montre son entrejambe avec son pénis tout mou. « A ton avis? »
Je lève mon pied vers son visage. « Tu l’embrasserais? »
Pas question de lui suggérer de sucer mes orteils et de lécher au milieu.
« Embrasser ton pied en sueur? Tu as dansé toute la soirée. Ça doit sentir bizarre là-dedans »
Je baisse mon pied puant sous son nez. Il se penche et l’embrasse. Je suis prête à être conquise, séduite, ravagée, et le rendre entièrement satisfait.
« Enlève ça ! » Il tire ma nuisette vers le haut, en levant mes bras au passage. J’entends une petite déchirure.
« Oups ! Bon, ce n’est pas comme si nous en aurons encore besoin, n’est-ce pas? »
Maintenant, nous sommes tous les deux nus dans le lit. L’instant romantique commence.
Jason s’allonge sur moi sans aucun préliminaire. Je lui demande :
« Tu sais ce que j’ai fait pour toi, l’autre jour, dans la salle de bain? Tu penses que tu pourrais faire ça pour moi? »
« Tu veux dire maintenant? Je t’ai promis que je le ferais un jour. Pourquoi ne pas nous contenter d’un peu de plaisir de ce soir? »
« Tu as raison. Autant garder ça pour une nuit spéciale » Je fais attention à ce qu’il ne me voie pas lever les yeux au ciel. Cette nuit est censée être la plus spéciale de toutes.
« Bon. Maintenant, j’ai perdu ma concentration. Peux-tu faire ta magie pour moi? »
La magie qu’il réclame, c’est que je le branle jusqu’à ce qu’il ait une érection suffisante pour me pénétrer. Je le fais mécaniquement, car cela n’a rien d’exceptionnel, et il répond correctement.
À ce moment-là, je souhaiterais n’avoir jamais connu le pénis de Sergueï, n’avoir jamais ressenti sa puissance palpitante, n’avoir jamais su qu’une telle merveille existait et que la nature dotait certains hommes d’un tel arsenal de plaisir.
Jason est ” acceptable ” si l’on ne connaît pas Sergueï. Malheureusement pour moi, je sais qu’il ne possède qu’un tout petit pénis, maintenant.
« Prête? » Demande-t-il sans attendre de réponse.
Il me fait rouler sur le dos et il s’installe sur moi. Je relève mes genoux et Jason me pénètre facilement. Le plus facilement qu’il n’a jamais connu depuis que nous sommes ensemble.
« Mon Dieu ! Comme tu es excitée ce soir ! C’est génial ! »
Soit la bite surdimensionnée de Sergueï m’a étirée, soit une lubrification résiduelle de sperme russe aide Jason à faciliter sa pénétration.
J’enlace ce corps presque efféminé, je relève mes longues jambes pour les enrouler autour de ses petites fesses. Je presse Jason contre moi, dans l’espoir d’une pénétration plus profonde. Mais cela ne donne pas un bon résultat, mon étreinte gêne l’amplitude de ses pénétrations.
Ses petits coups rapides me rappellent l’accouplement des lapins. Je manœuvre de mon mieux pour obtenir un contact de son os pubien avec mon clitoris, je commence à ressentir les prémices du plaisir, mais il termine avant que je parvienne au but. Un réflexe heureux me permet de panteler en gémissant, afin qu’il soit persuadé d’être le meilleur amant du monde.
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